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Tak ! Tak ! Tak ! Tak ! J'entends des bruits de pas résonner et traverser cette petite place de village vide. Il est presque minuit,. Nous sommes en février. Il fait très froid. Il n'y a personne. Sauf quelqu'un qui approche. Jennifer sûrement. Tak ! Tak ! Tak ! Tak ! Le taxi qui vient de me déposer quelques minutes plus tôt était très sympa. Avenant, cordial, prompt à rendre service et à me parler de la région. Un peu surpris quand même quand je lui ai demandé de repasser me chercher dans quelques heures. Tak ! Tak ! Tak ! Tak ! Il était venu me prendre dans cette petite garde de l'Est de la France où le TER m'avait déposé. Quand il m'a demandé ce que je venais faire pour si peu de temps, la nuit, au milieu de nulle-part, je lui ai raconté que j'allais retrouver une amie qui était là exceptionnellement aujourd'hui. Ca valait bien un autre mensonge. Tak ! Tak ! Tak ! Tak ! Le voyage depuis Paris avait duré à peu près quatre heures. De la Gare de l'Est à Metz déjà. Puis un changement. Pendant les rares moments de réseau, j'avais pu avoir Jennifer au téléphone. J'adorais son accent anglais. Elle avait l'air aussi excité que moi et prête à tout ce soir. J'en avais alors profiter pour lui demander de venir me chercher sur la place du village juste en sous-vêtements sous son imper. "With pleasure" avait-elle ajouté. Tak ! Tak ! Tak ! Tak ! Cela avait été juste. J'avais quitté mes obligations une petite demi-heure plus tôt pour pouvoir attraper le train. Toute la journée j'avais pensé à cette soirée qui s'annonçait et à nos quelques coups de fils. "I'm gonna give you a good oral" m'avai-elle promis. Difficile de se concentrer dans ce cas. Tak ! Tak ! Tak ! Tak ! Deux jours plus tôt, j'avais fait sa connaissance. Jennifer était une belle femme, "mid-forty" comme elle disait, terriblement sexy, anglaise, seule dans sa maison de campagne, avec un mari resté en Angleterre. Bien sûr, elle n'avait pas accepté que je vienne tout de suite. Mais je sais être persuasif. Et elle voulait être persuadée. Dont acte... Tak ! Tak ! Tak ! Tak ! Mais maintenant, j'étais là. Sur la place de ce village endormi. Personne aux fenêtres. Même pas quelques lumières. Juste le bruit de ses talons. Tak ! Tak ! Tak ! Tak ! Je vois sa silhouette émergée de l'ombre. Elle passe sous un réverbère. Mon sang ne fait qu'un tour. Elle est très belle. Et en imperméable. Il est fermé avec une petite ceinture et ses longues jambes avancent gracieusement vers moi. Pas la peine de se dire bonsoir, nous nous embrassons tout de suite. Nos langues se trouvent vite et déjà, je pose un baiser dans son cou et laisse glisser ma main sous son imper. Je frôle ses bas et touche des doigts son string. Elle me regarde avec un sourire coquin, se retourne et soulève son manteau pour que j'admire la simple ficelle qui passe entre ses fesses. "Do you like ?" Je n'ai pas besoin de répondre. Jennifer me prend par la main et m'entraîne chez elle, de l'autre côté du village. A peine cent mètres. Cent mètres où elle laisse ma main caresser ses fesses. Chez elle, la porte fermée, nous nous embrassons de plus belle. Dans l'escalier, je glisse mes doigts dans son sexe. Sur son palier, elle retire son imperméable. Dans sa chambre, je la jette sur le lit et la lèche comme un fou. Je sens ses jambes se resserrer autour de mon cou à mesure que le plaisir monte en elle. Ses bas me caressent le visage et son string se laisse gentiment écarté pour donner tout le loisir à ma bouche de l'aspirer. La soirée va être belle je pense. Je lèche cette inconnue. Nous sommes tous les deux engagés par ailleurs, mais je sais qu'à ce moment précis ma place est ici, entre ses jambes. Mes mains caressent ses seins ronds et fermes. Mon sexe se durcit encore plus. Le seul anglais qui j'arrive à formuler est "I want to take you". Mais cela tombe bien, c'est exactement ce que j'ai en tête. Elle me lance un regard pervers et se met tout de suite en levrette. Elle cambre son cul et me l'agite sous le nez. Elle ne perd pas une miette du spectacle. Elle aime voir mon sexe entrer en elle. Il y entre sans effort et je sens son vagin entourer ma queue. Dans un état second, je la prends sauvagement. Elle s'agrippe aux barreaux du lit et sait très bien me rendre fou de désir en se redressant pour m'embrasser, prendre ma main et la poser sur son clito pour que je la caresse en même temps. Notre premier ébat durera une heure. D'autres suivront pendant les 6 heures que nous passerons ensemble. S'amusant de mon fétichisme pour les tenues sexy, elle changera souvent de vêtements. En mini-jupe et bottes. Dans une robe de soirée. Dans son tailleur BCBG qu'elle met pour aller travailler aussi. J'apprendrai alors que c'est une executive woman. Encore un autre fantasme. Elle appellera aussi son mari alors que je la lèche, l'air de rien. Elle allumera au téléphone un homme qui la désire depuis des années pendant que je la prends. Elle me laissera jouir sur son visage et avalera mon sperme. Je serai aussi, d'après elle, le premier homme avec qui elle trompe son mari et le premier à la sodomiser. La chose s'est passée de façon amusante. Elle n'était pas forcément pour que je la sodomise au départ. Mais alors qu'elle fouillait dans son placard et se penchait pour prendre ses bottes, j'ai voulu la prendre en levrette, debout. Mais, tout naturellement, mon sexe s'est glissé dans son cul et elle m'a laissé faire. Voyant qu'elle aimait, nous sommes allés sur le lit, j'ai soulevé ses jambes et je l'ai de nouveau enculé en nous regardant dans les yeux. Elle a joui. Moi aussi. Nous avons baisé dans sa chambre, dans celle de ses enfants, sur son palier, sur son bureau, sous son bureau, devant la grande armoire en nous regardant, sur une chaise... C'était très sensuel, plutôt pervers, assurément mal mais fabuleux. J'ai pris congé d'elle vers 6 heures du matin en jouissant une dernière fois sur ses seins. Et j'ai recommencé une nouvelle journée la tête ailleurs. |
