Vendredi 27 août 5 27 /08 /Août 18:17

Des grandes, des petites, des minces, des plus enrobées, des blondes, des brunes, des cheveux courts, des cheveux longs, des plus âgées, des moins, des noires, des blanches, d'autres couleurs aussi. En revanche, pas encore de rousses. Il faudra qu'un jour je pense à remédier à cet oubli.

Le point commun entre les quelques femmes avec qui j'ai eu une aventure ? Je ne sais pas. Pas physique en tout cas. Tout ce que je sais, c'est que mes meilleures rencontres l'ont souvent été avec des femmes joueuses, coquines et, il faut bien l'avouer, un peu perverses. Ou qui avait envie de se pervertir. Et c'est toujours un véritable plaisir quand on me demande mon aide.

Bien entendu, quand je dis "perverses", je ne pense pas à des choses terribles. En effet, je ne suis pas trop attiré par les sports extrêmes. Mais j'avoue qu'il existe un petit frisson exquis qui me parcours quand je sens que les choses dérapent légèrement.

Il y a eu Jennifer qui laissa un message sur le répondeur de son mari alors que je la léchais fougueusement. Ou Christelle qui me suça dans ce parking. Ou encore cet homme qui me laissa faire jouir sa femme dans et sur sa voiture pendant qu'il nous regardait. Il faudra peut-être que je vous raconte cette histoire là un jour. Mais déjà, rien que de rencontrer un inconnu pour la bagatelle, c'est un peu pervers. Donc, vous voyez, rien de bien méchant dans ma définition de perversion. Ca reste plutôt un jeu.

Cependant, je pense que Carole était un peu plus perverse que les autres. Ou alors, plus inconsciente. Et notre petit rendez-vous au nez et à la barbe de nos officiels me laissa entrevoir ce que, d'habitude, elle tentait de cacher aux yeux du monde.

C'était un matin de printemps en banlieue Sud. 

Carole m'avait prévenu. Effectivement, je ne pouvais pas rater sa New Beetle jaune à la sortie du RER. Nous avions discuté un peu via mails, nous échangeant nos envies, nos préférences et faisant doucement monter le pression. Il s'avéra que Carole était mariée, mère de deux enfants, approchant doucement de la quarantaine et complètement délurée.

Elle n'avait jamais encore trompé son mari. Si ce n'est cette fellation qu'elle avait prodiguée une fois à un jeune homme qui lui plaisait. Hélas, les aléas de la vie ne lui avait pas permis d'aller plus loin. A vrai dire, cela m'arrangeait bien.

Carole m'attendait donc dans sa petite New Beetle jaune. Brune, un sourire timide et une pointe d'angoisse qu'elle avait décidée de masquer sous des lunettes de soleil. Ca tombait bien, il faisait beau ce jour là. 

Je suis alors monté dans sa voiture. Nous nous sommes embrassés sans trop attendre. Elle portait une petite jupe à carreaux, des bas, des petites chaussures noires vernies à talons qu'elle avait justement achetées pour cette occasion. Et bien sûr, pas de culotte.

Je dois avouer aimer ces moments-là. Ca n'est effectivement pas la première fois que je retrouve une femme dans sa voiture pour un voyage coquin. Il y eu Maelle par exemple. Une executive woman de 45 ans que j'avais retrouvée à la sortie d'une de ses réunions avec un client. Je me souviens de son tailleur bleu ciel, de nos bouches s'approchant, de ma main glissant sous sa jupe et des mots qu'elle me glissa quand je remarquai qu'elle ne portait pas de culotte : "Tu as vu, j'ai été obéissante". Un très beau souvenir que cette après-midi. Je me rappelle aussi de Laurence. Cette jeune maman était, elle aussi, venue me chercher en voiture à une gare RER. Elle aussi ne portait pas de culotte et m'avait laissé la caresser dès mon arrivée. Dans son parking, nos jeux s'étaient faits plus insistants et je l'avais léchée longuement. Elle était debout, collée à sa voiture, soulevant sa jupe pour que ma langue la goûte... Un autre joli moment volé.

Pas la première fois donc. Et pas la dernière non plus, j'espère. 

Il y a toujours une petite angoisse quand même lorsque l'on pénètre dans l'habitacle. Allons-nous nous plaire ? Qu'est-ce qu'on fait ? On y va ? On s'embrasse ? Bref, plein d'interrogations existentielles qui, heureusement, prirent fin très vite puisqu'après un sourire délicieux, Carole posait ses lèvres sur les miennes. Nos langues ne tardèrent pas à trouver leur chemin. Et ma main, celui de son sexe. Il était rasé, doux et déjà mouillé. Carole pu de son côté constater au travers de mon pantalon qu'elle ne me laissait pas indifférent non plus. Nous avions tous les deux très envie l'un de l'autre. La matinée s'annonçait bien.

Avant de devenir indécent, Carole démarra et m'amena chez elle. Elle habitait un petit village, sorte de banlieue pavillonnaire tranquille et un peu éloignée. Ses enfants étaient à l'école et son mari au travail. Il ne restait plus qu'à éviter ses voisins. Ce que nous firent. Le plus dur était fait.

Carole mit la voiture au garage, puis ferma la grande porte coulissante. Je la voyais se déhancher élégamment en contre-jour. Sa silhouette était particulièrement sexy. Allez savoir pourquoi, mais j'ai sorti mon sexe à ce moment-là. L'émotion sûrement.

Elle revint alors vers moi en souriant. Nous nous embrassames de nouveau, puis elle s'assit sur le capot de sa voiture. Ses jambes légèrement écartées faisait remonter sa jupe jusqu'à son sexe. Elle prit alors le mien dans sa main puis commença à le sucer. Elle me jetait des petits coups d'œil malicieux en sachant pertinemment que cela ne faisait qu'augmenter l'effet qu'elle me produisait. Cette femme était diabolique. Mais j'en profitais pour caresser son vagin et ses seins. 

Puis, n'y tenant plus, je lui demandais de se cambrer pour que je puisse la prendre. Carole posa alors ses mains sur la capot encore chaud de sa New Beetle, releva un peu sa jupe et m'offrit son sexe. J'empoignai alors ses hanches fermement et m'introduisis en elle. Nous étions tellement excités que les préliminaires étaient superflus. Je pouvais sentir ses fesses rebondir contre moi à chaque mouvement. Je ne tardais d'ailleurs pas à les agripper et les caresser.

Carole changea aussi de position. S'asseyant sur son capot et relevant ses jambes sur mes épaules. C'est ainsi que nous finîmes de baiser dans son garage. Avant de passer au salon.

La maison était donc vide et une fois les volets tirés, elle se révéla un formidable terrain de jeux.

Il y eu le canapé du salon. Juste devant la télé. Là, alors que Carole était assise, je m'agenouillai par terre et la léchai à mon tour.

C'est troublant de faire jouir quelqu'un dans sa maison familiale (et très excitant aussi je l'avoue). De penser que là où Carole se laissait aller au plaisir, le soir venu toute la famille s'assiérait pour regarder le journal de 20h. Mais cela avait l'air de lui plaire énormément.

Troublant donc. Mais loin d'être fini.

En effet, Carole avait envie de tenter un peu tout. De se laisser complètement aller. D'être vraiment salope. En tout cas, à ce moment-là. Comme ça, juste pour elle. Un acte un peu surréaliste et très personnel. Avec un inconnu qui ne savait pas grand chose d'elle et qui la jugerait peut-être mais avec un regard complice. 

C'est donc sur ce même canapé que je la doigtai, la mordillai et me servis d'un fruit comme d'un jouet sexuel. Une première pour nous deux. 

Sans perdre de temps, nous montâmes à l'étage. Carole rentra dans sa chambre et me laissa quelques instants seul sur le palier. Mes affaires étaient un peu éparpillées partout dans la maison et, si quelqu'un était rentré à ce moment-là, j'aurais eu du mal à me faire passer pour un réparateur quelconque.

De toute façon, le problème ne s'est pas posé et Carole m'invitait déjà à entrer. Elle m'attendait sur le lit, en levrette, me proposant son sexe. Elle avait changé de vêtement pour que je la prenne dans une longue robe de soirée noire et élégante.

Nous avons essayé un peu toutes les positions. je l'ai prise doucement. Sauvagement. Elle m'a chevauché. Sucé. Branlé. Elle s'est assise sur mon visage. J'ai joui sur ses seins et ses fesses. Elle a mouillé ses draps. Nous avons failli cassé son lit. Elle a gémi. Soupiré. Crié. Elle ne se souciait plus de ses voisins. Je l'ai léché de nouveau. Doigté. Avec un doigt. Deux. Trois. Plus ?

Oui plus. Carole voulait plus. Elle l'avait déjà essayé plus jeune et avait envie de recommencer. J'ai donc glisser un quatrième doigt. Puis, lentement, doucement, mon pouce a fini par rentrer. Progressivement ma main s'est enfoncée dans son sexe. Petit à petit. Millimètre par millimètre.

Carole se relâchait complètement. Son vagin devenait de plus en plus humide et son excitation croissait à mesure que mon poing disparaissait en elle. Souvent, elle relevait la tête pour ne rien perdre de ce spectacle troublant. Forcément troublant. Allongée sur le ventre, elle tenait ses jambes en l'air bien écartées pour que je puisse m'introduire totalement en elle. Son clitoris était gonflé de plaisir et je ne pu m'empêcher de le lécher tout en continuant à glisser ma main en elle.

Je n'ai pas souvent eu l'occasion de faire se petit jeu. Trois ou quatre fois. Il est vrai qu'à première vue, cela peut sembler barbare, ou déplacé. Mais dans mes expériences, cela s'est toujours fait naturellement. Sans forcer. Et sans insister. La vue de ma main dans le sexe d'une femme est aussi étonnant qu'excitant et fascinant. Et Carole aimait cela aussi. Elle a joui plusieurs fois ainsi entre deux baises effrénées et plus classiques.

Nous avons aussi étrenné la salle de bain. Sur le rebord de la baignoire, où Carole s'assit sur moi. Débout aussi, en levrette, devant le miroir.

Nos ébats ne durèrent que deux ou trois heures avant qu'elle ne me raccompagne au RER. Mon seul regret est de ne pas nous être arrêtés en chemin dans un petit bois. Mais la journée avait déjà été bien remplie.

J'ai eu des nouvelles de Carole il y a quelques temps. Elle est toujours avec son mari mais elle est passée à d'autres jeux dans un univers un peu plus SM où je ne peux la suivre. Mais, pendant ce petit moment, elle m'a donné l'occasion de réaliser avec elle quelques uns de ces fantasmes. Ceux auxquels on pense généralement quand la lumière est éteinte et que l'autre dort?

Par un-mercenaire.erog.fr - Publié dans : Quelle aventure !
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