Vendredi 27 août 5 27 /08 /Août 18:08

"Ca y est, j'y suis. Tu peux venir me rejoindre".

Autant dire que j'ai volé dans le métro. Une petite vingtaine de minutes pour aller la retrouver. Pourtant, tout cela m'a paru bien long. 

J'avais encore en tête toutes les conversations érotiques que nous echangions depuis une petite semaine au téléphone et parfois même par textos.

Ophélia m'avait même fait le plaisir de me laisser un message sur mon répondeur alors qu'elle jouissait en se caressant. Imparable. J'avais dû l'écouter une dizaine de fois et il était difficile de garder ses mains tranquilles. Impossible même. Sa voix et les petits cris qu'elle poussait me faisait tourner la tête.

Heureusement pour ma santé mentale, j'arrivais enfin à destination. Je trouvais la rue, le numéro, l'étage puis la porte. Je frappais. Elle m'ouvrait.

Bien entendu, elle était plus que ravissante. Elle portait une petite jupe écossaise, des bas blancs et des chaussures à talons vernis. Une sorte d'Alice au Pays des Merveilles coquine et perverse.

Sans échanger un mot, nous nous sommes embrasser. Je l'ai plaquée contre le mur, me suis agenouillé, j'ai soulevé sa jupe et j'ai commencé à la lécher au travers de son string. Cela faisait longtemps que j'en avais envie et son sexe était délicieux. Quand elle a passé sa jambe au-dessus de mes épaules, mon sang n'a fait qu'un tour. Il fallait que nous baisions. je voulais être en elle.

Nous avons donc filé dans la chambre, elle s'est allongée sur le lit et m'a jeté un regard plein de désirs. Irrésistible. Elle a enlevé son string et écarté les jambes pour que je la pénètre. Je me suis exécuté. Je pouvais la sentir tout autour de mon sexe, vibrer en même temps que moi.

Nous nous sommes caressés, embrassés, sucés, léchés pendant des heures. Je crois bien que toutes les positions y sont passées. Et une partie de sa garde robe aussi. 

J'ai joui en elle, sur elle, avec elle. Je l'ai prise en levrette, couché, debout, en cuillère. Ophélia s'est laissée faire, a pris les devants, s'est assise sur moi pour que je la lèche, s'est masturbée devant moi avec son god pour me rendre dingue. Nous nous sommes regardés baiser dans le miroir de la chambre.

C'était excitant de la voir se pencher et je me jeter des regards coquins alors que derrière elle, j'empoignais ses hanches pour entrer au plus profond d'Ophélia. Je pouvais attraper ses seins et les caresser, pincer ses fesses ou lui mordiller la nuque tout en la voyant prendre du plaisir.

Nous en avons beaucoup pris ce soir-là. Des photos aussi. Deux ou trois petites vidéos que je regarde régulièrement quand je suis seul chez moi et que les volets sont tirés.

Et souvent, je repense à ces moments où, allongé sur Ophélia à plat ventre, j'introduisais mon sexe en elle après avoir lécher son dos. Son adorable petit cul bougeait en même temps que mon bassin. Nos deux mains se serraient et nous transpirions ensemble jusqu'à ce que l'un ou l'autre explose en premier.

Il y a quelques jours, Ophélia m'a envoyé un texto. Elle avait rêvé que je la prenais et que je jouissais sur son anus. Et ce que femme désire...

Par un-mercenaire.erog.fr - Publié dans : Quelle aventure !
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