Samedi 28 août 6 28 /08 /Août 13:58

Une première chose, le titre n'est pas de moi. Ceci dit, passons à la suite si vous le voulez bien.

Je me suis pas mal épanché dans ce blog sur mes merveilleuses aventures. En général, je retrouve une femme. Parfois la scène se passe chez elle, d'autres fois à l'hôtel. Nous nous embrassons alors, puis nous vautrons dans la luxure dans un peu toutes les pièces, dans toutes ses tenues et dans toutes les positions. Le canevas est assez classique mais, cela reste particulièrement excitant. Pas besoin d'y ajouter les flammes de l'Enfer, des chaînes ou un âne, l'action se déroule bien d'elle-même et nous finissons toujours par jouir plusieurs fois.

Tout va pour le mieux donc.

Il est vrai que je ne pense pas être un mauvais amant. Ou du moins, disons que je suis moyen mais que le niveau à l'air tellement bas que je m'en sors plutôt bien. Peut-être mes maîtresses m'ont toujours menti et que leur plaisir n'était qu'une feinte polie. Depuis le film quand Harry rencontre Sally, je me méfie effectivement des orgasmes féminins. Mais, je demande toujours à mes partenaires d'être franche et, je veux bien les croire quand elles disent prendre du plaisir avec moi. Cela dit, je ne vais pas non plus trop me torturer et il est plus agréable de les croire que de penser que tout ceci n'est que simulation. 

Dans ce cas, me diriez-vous, pourquoi ne revois-je pas toutes mes maîtresses ? Si je suis réellement un bon amant, pourquoi ne suis-je pas assailli par leurs demandes incessantes de les faire grimper aux rideaux ? 

Petit malin va ! J'y ai pensé et je me suis trouvé plein d'explications qui ne remettent pas en cause mes talents sexuels :
- la charge émotionnelle que recèle un simple souvenir de nos ébats est tellement intense que mes maîtresses s'évanouissent à la seule pensée de mon nom,
- mes maîtresses ont tellement crier qu'elles n'ont plus de voix pour m'appeler, des années après,
- mes maîtresses n'ont plus de rideaux pour grimper dessus,
- et puis, ça suffit vous, si j'ai envie de penser que je suis un super bon amant, pourquoi je me priverais, vous voulez me déprimer ou quoi ?

En bref, cela peut paraître prétentieux, mais, j'ai l'impression de ne pas être totalement à côté du sujet quand je suis l'amant d'une femme.

Mais !

Ce propos doit être grandement pondéré. Hé oui.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, il m'arrive d'être juste nul. Une vraie merde. Incapable de faire quoi que ce soit de bon. Et là, c'est l'horreur.

On peut aussi tracer un schémas des rencontres (nombreuses) où j'ai envie de me suicider.

Ca commence assez normalement. Sur ce site par exemple. Une femme répond enfin aux milliers de messages que j'envoie. Nous discutons un peu ici puis passons sur une messagerie bien connue dont on a pas le droit de dire le nom avant d'avoir envoyé deux messages chacun. C'est un truc magique. Un peu comme de dire trois fois Candy Man pour qu'il apparaisse.

Là, nous nous chauffons et échafaudons le déroulé de notre rencontre. Par exemple : j'arrive chez elle, elle m'ouvre nue en talons, je la plaque contre le mur, nous nous embrassons, nous glissons par terre, elle s'assied sur mon visage et je la lèche...

Classique donc.

Vient alors la rencontre. Et les aléas de la vie avec.

J'arrive et envoie un texto destiné à faire monter la pression : "je sors du métro". En général, c'est plutôt efficace. C'est un peu comme le son du tonnerre annonçant l'arrivée imminente un gros orage. 

Sauf quand le T9 de votre portable s'en mêle. Pour ceux qui ne le savent pas, le T9 c'est une sorte de dictionnaire automatique qui permet de trouver plus rapidement des mots quand on les tape par texto. C'est une bonne idée, mais parfois facétieuse. Du coup, j'envoie "le sors et neuvro". Et reçois comme réponse : "ah bon ?". 

Première étape ratée.

Ensuite, je ne trouve pas l'adresse. J'ai beau cherché, rien à faire, je tourne en rond. Au bout de 10 minutes, je ravale ma fierté et décide d'appeler la demoiselle pour lui demander mon chemin. Elle rigole beaucoup. C'est déjà ça mais je passe du statut d'amant débridé à celui de Roland Magdanne. 

Surtout quand elle comprend que je ne suis pas sorti à la bonne station. Je suis à un quart d'heure de marche. Pas de soucis, j'y vais en courant. 

Il fait lourd, mais je fonce quand même. Mon corps svelte fend l'air chargé d'humidité de ce mois de juillet. Moi qui parlais d'orage tout à l'heure, n'est-ce pas un éclair que je viens de voir zébré la nuit parisienne ? Si, c'est bien ça. Et d'un seul coup, il s met à pleuvoir comme jamais il n'a plu. Une pluie tropicale avec des goûtes grosses comme des noix. Il ne faut pas plus de trente secondes pour être entièrement trempé. Alors pourquoi la faire durer pendant toutes mes 10 minutes de courses ? Mystère.

Enfin, j'arrive devant l'immeuble au moment même où le ciel se dégage. Je pousse la grande porte. Mais elle refuse de s'ouvrir. Je réessaye. Même punition. Mademoiselle a oublié de me donner le code. Trop drôle !

Donc nouveau coup de fil.
- Dites, vous avez oublié de me donner le code.
- Non, c'est juste qu'il ne marche. Je viens vous ouvrir.

Elle vient m'ouvrir ? Nue en talons ? Je l'imagine descendre lentement les étages ainsi. Mademoiselle est donc une vraie coquine.

Sauf que non. Mademoiselle est habillée et c'est bien normal. 

C'est donc ainsi notre premier contact. Elle, pieds nus et en pantalon et moi complètement trempé et essoufflé. C'est étonnant mais j'avais imaginé ça autrement.

On se sourit un peu timidement et elle m'invite à monter. Au sixième étage. Sans ascenseur. Après ma course sous la pluie, j'ai l'impression d'escalader l'Everest.

Arrivé chez elle, je manque de m'écrouler d'inanition. Mais je n'en laisse rien paraître. Je tente de reprendre mon souffle et entre deux respirations bruyantes, je lui demande si elle n'aurait pas un verre d'eau. Et du chocolat. Ou du sucre. Voire de la cocaïne. N'importe quoi pour que je ne m'évanouisse pas. 

La jeune femme m'apporte donc un verre d'eau, un morceau de chocolat à 99% qui manque de me déshydrater quand je le pose sur ma langue et une serviette pour m'essuyer.

Je me frotte la tête avec pour empêcher les goûtes de tomber et de salir la moquette. Vigoureusement. Tellement vigoureusement que quand j'enlève la serviette, mes cheveux sont en pagaille : une moitié est aplatie sur le devant et l'autre est dressée sur la tête. La grande classe quoi.

Mais enfin, nous sommes là ensemble et nous pouvons nous regarder. A cet instant, l'idée me frôle qu'elle puisse ne pas me trouver très sexy. Cela m'ennuie d'autant plus qu'elle est très jolie.

Au bout de quelques secondes de silence un peu gêné, je m'approche d'elle et vais pour l'embrasser. Et paf ! Mon mouvement est trop brusque et nous nous cognons les dents. Heureusement, je ne lui ai pas ouvert la lèvre. Ca commence bien. Surtout que nos deux bouches ont du mal à se trouver. Aucun de nous deux arrivent à pencher son visage à 90° par rapport à l'autre. Du coup, nous nous faisons toujours face, donnant l'impression que l'on veut dévorer l'autre. Quand je penche ma tête, elle aussi. C'est débile et pas très agréable. Nos langues sont trop courtes pour se toucher. Un observateur extérieur pourrait éventuellement trouver cela drôle. Moi, j'ai juste envie de disparaître.

Je passe alors à la vitesse supérieure, tentant le tout pour le tout. Je caresse ses seins et essaye de les faire sortir de son chemisier. 

Crack ! J'ai déchiré le chemisier.

Vite, passons à autre chose.

Mais quoi ? Il faut rapidement trouver une idée ou au moins une diversion. Je sais ! La main dans la culotte. Ca, ça marche toujours.

Je commence donc à caresser son sexe. Enfin, son pantalon. Je décide alors de passer ma main dedans. C'est un jeans slim ultra-serré. Ma main a du mal à rentrer dedans. Je force quand même. Et j'y arrive enfin. Au passage, j'y ai laissé la moitié de la peau de mes doigts. Tant pis. Il faut ce qu'il faut pour tenter de sauver ce qui peut l'être.

Mais, il n'y a rien à sauver.

Mes gestes sont maladroits, imprécis et, au mieux elle ne sent rien, au pire, je lui fais un mal. Une catastrophe je vous dis.

Le reste de la soirée consistera à passer d'un échec à l'autre : un cunilingus qui ne marche pas, un baiser qui se transforme en petite morsure, un sexe (le mien) qui refuse de se dresser... Je glisse un doigt, elle n'aime pas cela. Je lèche, elle ne bouge pas. Je la prends, elle ne dit rien du tout. Je suis angoissé, elle aussi. Enfin un point commun. Cela sera le seul. Avec la déception.

Viennent alors des remarques désobligeantes qui ne sont pour la plupart du temps pas dites de façon méchantes mais qui vous donnent une bonne idée de la valeur de votre prestation.

Des trucs du style : 
- "Je ne suis pas vraiment sous votre charme."
- "Vous êtes sûr que vous ne lécher pas l'oreiller là ?"
- "C'est votre première fois, non ?"
- "C'est pas tout ça, mais j'ai du boulot moi demain".

Et d'autres dont je vous fais grâce et dont la seule évocation me rappelle les pires moments d'humiliations au collège.

Très rapidement, cela dit, je vois que cela ne sert à rien de s'acharner. Et, si j'arrive à ne blesser personne ou à ne pas mettre le feu à l'appartement, j'essaye d'arrêter ce supplice le plus vite possible.

Je pars alors en m'excusant et en prenant l'entière responsabilité de ce qui vient de se apsser. Ce qui est vrai en fait. Et puis ainsi, ma malchanceuse partenaire voit que je ne suis pas méchant malgré tout. Et si en plus, elle peut culpabiliser un peu, c'est parfait.

Gnark gnark gnark ! Je suis diabolique, j'ai même réussi à trouver des excuses à mes pires ratages. Enfin, dans ce blog seulement...

Par un-mercenaire.erog.fr
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Samedi 28 août 6 28 /08 /Août 13:49

Une nouvelle saison commence et, comme à chaque fois, la mort s'approche d'avantage. Flippant, n'est-ce pas ? Du coup, pour l'attendre un peu plus sereinement, je me is qu'il est temps de réaliser quelques fantasmes.

 

Bien entendu, l'envie ne fait pas tout et il se peut que la vie continue son long fleuve tranquille. Mais qui ne tente rien n'a rien. 


Je m'en vais vous les exposer de ce pas. Qui sait, peut-être cela mènera-t-il à quelque chose.

Voici donc ma "liste des choses à faire" dans le désordre :
- faire l'amour avec deux femmes
- faire l'amour avec trois femmes
- faire l'amour avec quatre femmes
- faire l'amour avec une rousse
- une brune aussi
- et une blonde
- et encore une rousse
- aller à une soirée privée très sexe
- baiser dehors
- initier une femme au club
- faire l'amour avec cinq femmes
- avoir une aventure avec une noire (ça fait longtemps)
- retourner à une autre soirée privée (parce qu'on y prend vite goût)
- avoir une maîtresse de plus de 10 ans que moi
- avoir une maîtresse de moins de 10 ans que moi
- avoir une maîtresse de mon âge
- avoir une maîtresse d'un âge différent
- avoir une maîtresse pour chaque âge 
- faire un trio avec couple (mais avec un homme hétéro, hein ?)
- retrouver une femme à son lieu de travail
- partir en week-end avec (ou chez) une inconnue
- avoir des maîtresses venant de chaque pays du Monde
- coucher avec une célébrité
- faire l'amour avec une centaine de femmes en un mois
- réaliser les fantasmes de toutes les femmes que je rencontrerai
- réaliser mes fantasmes les plus délirants


Bon, il n'y a pas tout, mais ça donne déjà quelques possibilités, non ?

Par un-mercenaire.erog.fr - Publié dans : Les voix dans ma tête
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Vendredi 27 août 5 27 /08 /Août 18:17

Des grandes, des petites, des minces, des plus enrobées, des blondes, des brunes, des cheveux courts, des cheveux longs, des plus âgées, des moins, des noires, des blanches, d'autres couleurs aussi. En revanche, pas encore de rousses. Il faudra qu'un jour je pense à remédier à cet oubli.

Le point commun entre les quelques femmes avec qui j'ai eu une aventure ? Je ne sais pas. Pas physique en tout cas. Tout ce que je sais, c'est que mes meilleures rencontres l'ont souvent été avec des femmes joueuses, coquines et, il faut bien l'avouer, un peu perverses. Ou qui avait envie de se pervertir. Et c'est toujours un véritable plaisir quand on me demande mon aide.

Bien entendu, quand je dis "perverses", je ne pense pas à des choses terribles. En effet, je ne suis pas trop attiré par les sports extrêmes. Mais j'avoue qu'il existe un petit frisson exquis qui me parcours quand je sens que les choses dérapent légèrement.

Il y a eu Jennifer qui laissa un message sur le répondeur de son mari alors que je la léchais fougueusement. Ou Christelle qui me suça dans ce parking. Ou encore cet homme qui me laissa faire jouir sa femme dans et sur sa voiture pendant qu'il nous regardait. Il faudra peut-être que je vous raconte cette histoire là un jour. Mais déjà, rien que de rencontrer un inconnu pour la bagatelle, c'est un peu pervers. Donc, vous voyez, rien de bien méchant dans ma définition de perversion. Ca reste plutôt un jeu.

Cependant, je pense que Carole était un peu plus perverse que les autres. Ou alors, plus inconsciente. Et notre petit rendez-vous au nez et à la barbe de nos officiels me laissa entrevoir ce que, d'habitude, elle tentait de cacher aux yeux du monde.

C'était un matin de printemps en banlieue Sud. 

Carole m'avait prévenu. Effectivement, je ne pouvais pas rater sa New Beetle jaune à la sortie du RER. Nous avions discuté un peu via mails, nous échangeant nos envies, nos préférences et faisant doucement monter le pression. Il s'avéra que Carole était mariée, mère de deux enfants, approchant doucement de la quarantaine et complètement délurée.

Elle n'avait jamais encore trompé son mari. Si ce n'est cette fellation qu'elle avait prodiguée une fois à un jeune homme qui lui plaisait. Hélas, les aléas de la vie ne lui avait pas permis d'aller plus loin. A vrai dire, cela m'arrangeait bien.

Carole m'attendait donc dans sa petite New Beetle jaune. Brune, un sourire timide et une pointe d'angoisse qu'elle avait décidée de masquer sous des lunettes de soleil. Ca tombait bien, il faisait beau ce jour là. 

Je suis alors monté dans sa voiture. Nous nous sommes embrassés sans trop attendre. Elle portait une petite jupe à carreaux, des bas, des petites chaussures noires vernies à talons qu'elle avait justement achetées pour cette occasion. Et bien sûr, pas de culotte.

Je dois avouer aimer ces moments-là. Ca n'est effectivement pas la première fois que je retrouve une femme dans sa voiture pour un voyage coquin. Il y eu Maelle par exemple. Une executive woman de 45 ans que j'avais retrouvée à la sortie d'une de ses réunions avec un client. Je me souviens de son tailleur bleu ciel, de nos bouches s'approchant, de ma main glissant sous sa jupe et des mots qu'elle me glissa quand je remarquai qu'elle ne portait pas de culotte : "Tu as vu, j'ai été obéissante". Un très beau souvenir que cette après-midi. Je me rappelle aussi de Laurence. Cette jeune maman était, elle aussi, venue me chercher en voiture à une gare RER. Elle aussi ne portait pas de culotte et m'avait laissé la caresser dès mon arrivée. Dans son parking, nos jeux s'étaient faits plus insistants et je l'avais léchée longuement. Elle était debout, collée à sa voiture, soulevant sa jupe pour que ma langue la goûte... Un autre joli moment volé.

Pas la première fois donc. Et pas la dernière non plus, j'espère. 

Il y a toujours une petite angoisse quand même lorsque l'on pénètre dans l'habitacle. Allons-nous nous plaire ? Qu'est-ce qu'on fait ? On y va ? On s'embrasse ? Bref, plein d'interrogations existentielles qui, heureusement, prirent fin très vite puisqu'après un sourire délicieux, Carole posait ses lèvres sur les miennes. Nos langues ne tardèrent pas à trouver leur chemin. Et ma main, celui de son sexe. Il était rasé, doux et déjà mouillé. Carole pu de son côté constater au travers de mon pantalon qu'elle ne me laissait pas indifférent non plus. Nous avions tous les deux très envie l'un de l'autre. La matinée s'annonçait bien.

Avant de devenir indécent, Carole démarra et m'amena chez elle. Elle habitait un petit village, sorte de banlieue pavillonnaire tranquille et un peu éloignée. Ses enfants étaient à l'école et son mari au travail. Il ne restait plus qu'à éviter ses voisins. Ce que nous firent. Le plus dur était fait.

Carole mit la voiture au garage, puis ferma la grande porte coulissante. Je la voyais se déhancher élégamment en contre-jour. Sa silhouette était particulièrement sexy. Allez savoir pourquoi, mais j'ai sorti mon sexe à ce moment-là. L'émotion sûrement.

Elle revint alors vers moi en souriant. Nous nous embrassames de nouveau, puis elle s'assit sur le capot de sa voiture. Ses jambes légèrement écartées faisait remonter sa jupe jusqu'à son sexe. Elle prit alors le mien dans sa main puis commença à le sucer. Elle me jetait des petits coups d'œil malicieux en sachant pertinemment que cela ne faisait qu'augmenter l'effet qu'elle me produisait. Cette femme était diabolique. Mais j'en profitais pour caresser son vagin et ses seins. 

Puis, n'y tenant plus, je lui demandais de se cambrer pour que je puisse la prendre. Carole posa alors ses mains sur la capot encore chaud de sa New Beetle, releva un peu sa jupe et m'offrit son sexe. J'empoignai alors ses hanches fermement et m'introduisis en elle. Nous étions tellement excités que les préliminaires étaient superflus. Je pouvais sentir ses fesses rebondir contre moi à chaque mouvement. Je ne tardais d'ailleurs pas à les agripper et les caresser.

Carole changea aussi de position. S'asseyant sur son capot et relevant ses jambes sur mes épaules. C'est ainsi que nous finîmes de baiser dans son garage. Avant de passer au salon.

La maison était donc vide et une fois les volets tirés, elle se révéla un formidable terrain de jeux.

Il y eu le canapé du salon. Juste devant la télé. Là, alors que Carole était assise, je m'agenouillai par terre et la léchai à mon tour.

C'est troublant de faire jouir quelqu'un dans sa maison familiale (et très excitant aussi je l'avoue). De penser que là où Carole se laissait aller au plaisir, le soir venu toute la famille s'assiérait pour regarder le journal de 20h. Mais cela avait l'air de lui plaire énormément.

Troublant donc. Mais loin d'être fini.

En effet, Carole avait envie de tenter un peu tout. De se laisser complètement aller. D'être vraiment salope. En tout cas, à ce moment-là. Comme ça, juste pour elle. Un acte un peu surréaliste et très personnel. Avec un inconnu qui ne savait pas grand chose d'elle et qui la jugerait peut-être mais avec un regard complice. 

C'est donc sur ce même canapé que je la doigtai, la mordillai et me servis d'un fruit comme d'un jouet sexuel. Une première pour nous deux. 

Sans perdre de temps, nous montâmes à l'étage. Carole rentra dans sa chambre et me laissa quelques instants seul sur le palier. Mes affaires étaient un peu éparpillées partout dans la maison et, si quelqu'un était rentré à ce moment-là, j'aurais eu du mal à me faire passer pour un réparateur quelconque.

De toute façon, le problème ne s'est pas posé et Carole m'invitait déjà à entrer. Elle m'attendait sur le lit, en levrette, me proposant son sexe. Elle avait changé de vêtement pour que je la prenne dans une longue robe de soirée noire et élégante.

Nous avons essayé un peu toutes les positions. je l'ai prise doucement. Sauvagement. Elle m'a chevauché. Sucé. Branlé. Elle s'est assise sur mon visage. J'ai joui sur ses seins et ses fesses. Elle a mouillé ses draps. Nous avons failli cassé son lit. Elle a gémi. Soupiré. Crié. Elle ne se souciait plus de ses voisins. Je l'ai léché de nouveau. Doigté. Avec un doigt. Deux. Trois. Plus ?

Oui plus. Carole voulait plus. Elle l'avait déjà essayé plus jeune et avait envie de recommencer. J'ai donc glisser un quatrième doigt. Puis, lentement, doucement, mon pouce a fini par rentrer. Progressivement ma main s'est enfoncée dans son sexe. Petit à petit. Millimètre par millimètre.

Carole se relâchait complètement. Son vagin devenait de plus en plus humide et son excitation croissait à mesure que mon poing disparaissait en elle. Souvent, elle relevait la tête pour ne rien perdre de ce spectacle troublant. Forcément troublant. Allongée sur le ventre, elle tenait ses jambes en l'air bien écartées pour que je puisse m'introduire totalement en elle. Son clitoris était gonflé de plaisir et je ne pu m'empêcher de le lécher tout en continuant à glisser ma main en elle.

Je n'ai pas souvent eu l'occasion de faire se petit jeu. Trois ou quatre fois. Il est vrai qu'à première vue, cela peut sembler barbare, ou déplacé. Mais dans mes expériences, cela s'est toujours fait naturellement. Sans forcer. Et sans insister. La vue de ma main dans le sexe d'une femme est aussi étonnant qu'excitant et fascinant. Et Carole aimait cela aussi. Elle a joui plusieurs fois ainsi entre deux baises effrénées et plus classiques.

Nous avons aussi étrenné la salle de bain. Sur le rebord de la baignoire, où Carole s'assit sur moi. Débout aussi, en levrette, devant le miroir.

Nos ébats ne durèrent que deux ou trois heures avant qu'elle ne me raccompagne au RER. Mon seul regret est de ne pas nous être arrêtés en chemin dans un petit bois. Mais la journée avait déjà été bien remplie.

J'ai eu des nouvelles de Carole il y a quelques temps. Elle est toujours avec son mari mais elle est passée à d'autres jeux dans un univers un peu plus SM où je ne peux la suivre. Mais, pendant ce petit moment, elle m'a donné l'occasion de réaliser avec elle quelques uns de ces fantasmes. Ceux auxquels on pense généralement quand la lumière est éteinte et que l'autre dort?

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Vendredi 27 août 5 27 /08 /Août 18:15
 
Sophie est un jolie bout de femme qui habite Paris. 

Sophie m'attend souvent en nuisette et bottines pour que je puisse la lécher dès que j'arrive.

Sophie vit dans un petit appartement avec un grand lit et une petite table sur laquelle est adore que je la prenne. Car Sophie est coquine. 

Sophie a un joli corps que l'on croirait dessiné pour le sexe. Deux beaux seins bien ronds, de très belles fesses et un dos qu'elle cambre bien quand elle se met en levrette que ce soit sur son lit ou debout contre le mur.

Sophie m'excite et elle le sait.

Sophie et moi ne nous voyons pas souvent. J'ai une vie et Sophie a la sienne. Mais, il y a deux semaines, Sophie m'a envoyé un texto : "ça vous dit demain ?". Et ça me disait bien.

Comme a son habitude, Sophie m'a accueilli. Dans sa chambre et partout ailleurs aussi. 

Sophie crie beaucoup et fort. L'orgasme de Sophie semble fait de plusieurs étapes que l'on croit toujours finale tellement son corps vibre et que sa voix chante. Et pourtant, non. Il reste toujours un palier à explorer. Comme une fusée dont les différents étages ne cessent d'exploser pour qu'elle puisse continuer son voyage dans l'espace.

Et quand Sophie arrive enfin au plaisir, elle est prête pour que je la reprenne de nouveau. Cela étonne beaucoup Sophie d'ailleurs.

Sophie aime le plaisir. Quand je la lèche, quand je la prends ou que je la sodomise. Je vous jure que c'est Sophie qui me l'a demandé !

Sophie sait sucer aussi. Et sans cheveux sur la langue. Elle aime me prendre dans sa bouche, mordiller mon gland et me masturber jusqu'à ce que je jouisse sur ses seins.

Enfin Sophie aime bien dire à ses amies que je la "baise bien". Sophie sait me parler. Ses mots valent n'importe quelle thérapie.

Après notre dernier rendez-vous, Sophie est allée retrouver ses copines pour dîner. Avec encore un peu de mon odeur et de mon sperme sur elle.

Sophie est vraiment coquine.
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Vendredi 27 août 5 27 /08 /Août 18:14

 

J'ai retrouvé Mio à une porte de Paris dans l'après-midi.
Nous avions décidé d'aller prendre un verre, comme ça, sans vraiment d'autres pensées.

Enfin, peut-être qu'elle n'avait pas d'autres pensées. De mon côté, je ne pouvais pas en dire autant.

Quand je l'ai vue au loin, avec son petit pantalon en toile, ses chaussures bleu ciel et ses lunettes de soleil, je n'ai pas pu m'empêcher. Un bois n'était pas très loin, je lui ai donc proposé de profiter du beau temps pour aller nous promener.

C'est dingue le monde qu'il peut y avoir dans les bois. Partout. Dans chaque petit sentier, derrière chaque tronc, tout le monde se promène, flâne, court...

Il y a bien eu quelques petits moments où personne n'était en vue et où nous avons pu nous embrasser. Mais sinon, nous n'étions jamais seuls.

Jusqu'à ce que sur le bord d'un petit sentier, nous trouvions un endroit très mal caché par les arbres. De toute façon, j'avais trop envie d'elle.

La prenant par la main, nous sommes allées nous enfoncer dans ce petit bosquet. Mio avait du mal avec ses talons mais elle fit preuve d'un courage exemplaire. Nous étions enfin, un peu à couvert. Nous nous sommes alors embrassés, puis j'ai ouvert son chemisier et sorti ses seins de son soutien-gorge. Je les ai gobés. Les tétons se sont instantanément mis à pointer. Je l'ai alors caressée au travers de son pantalon. 

Malgré le désir qui montait, Mio se sentait un peu gênée et ne voulu pas que je la caresse trop longuement. Mais, quand j'ai sorti mon sexe, elle ne s'est pas faite prier pour le prendre dans sa main et commencer à me masturber. Des gens passaient tout proche mais ils ne nous voyaient pas. Ou faisaient comme si...

Mio s'est alors agenouillée et, au milieu de ses quelques arbres chétifs, elle prit mon sexe dans sa bouche. Elle joua avec mon gland et l'avala aussi loin qu'elle le pu. C'était aussi délicieux qu'excitant et je jouis très vite dans sa bouche.

Nous sommes alors ressortis de notre coin de paradis comme si de rien n'était. Puis, après avoir pris enfin notre café, nous avons pris rendez-vous pour demain. Dans une chambre d'hôtel cette fois.
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